[Parution] Interrogations n° 23 – Des jeux et des mondes

La revue ¿Interrogations? a le plaisir de vous informer de la mise en ligne de son numéro 23 « Des jeux et des mondes », coordonné par  Audrey Tuaillon Demésy et Laurent Di Filippo.

En plus de la partie thématique, ce numéro comporte un article dans la rubrique Des travaux et des jours et 4 notes de lecture.

Ce numéro est intégralement et gratuitement accessible en ligne à l’adresse suivante :

http://www.revue-interrogations.org/-No23-Des-jeux-et-des-mondes

Bonne lecture et très bonnes fêtes de fin d’année,
Le comité de rédaction

Un grand merci à tous !

Un grand merci à tous ceux qui m’ont accompagné, à tous ceux qui étaient présents pour cette soutenance et tous ceux qui ont pensé à moi à travers les nombreux messages que j’ai reçus.

Remerciements

Une thèse, c’est un peu comme une bonne aventure, on doit faire face à des obstacles, mais on rencontre aussi au détour d’un chemin des compagnons de route qui nous aident à les franchir. On peut penser à la fameuse Communauté de l’anneau, ou aux compagnons de Dragonlance, mais même Conan n’aurait pas accompli tant d’exploits sans l’aide de Zelata, de Taurus ou de Valéria, et sa réputation ne serait pas la même s’il n’avait pas rencontré Bêlit. Et pourtant, c’est toujours son nom qui apparaît sur la couverture…

Alors, bien que cette thèse soit « présentée et soutenue par Laurent Di Filippo », ce travail n’aurait pas été possible sans le soutien de nombreuses personnes que je tiens à remercier à présent.

En premier lieu, je remercie mes deux directeurs :

  • le professeur Jacques Walter, pour son dynamisme, pour son enthousiasme et pour son incroyable don à pointer du doigt les écueils et les vides d’un travail qui peut toujours être amélioré. À de nombreuses reprises, il a su remettre à sa place, de manière fine et subtile, le doctorant souvent trop sûr de lui que je suis.

  • Le professeur Jürg Glauser, pour son écoute attentive et ses précieux conseils. Malgré ma manière parfois peu académique de m’adresser à lui en Suédois, je n’en ai pas moins un profond respect pour son travail et pour la confiance qu’il m’a témoignée, tout d’abord en m’acceptant comme doctorant puis en m’invitant à participer à plusieurs de ses projets. Tack ska du ha, Jürg !

Pour mener à bien ce travail, j’ai eu le plaisir d’intégrer le Centre de recherche sur les médiations de ce qui était à l’époque l’Université Paul Verlaine de Metz et qui est devenue aujourd’hui l’Université de Lorraine. Nul doute que faire partie d’une équipe exigeante et dynamique comme celle-ci a grandement contribué à ce travail. Je remercie tous les membres du laboratoire, chercheurs et personnels administratifs, pour leur accueil et pour leur soutien de tous les instants, notamment au sein de l’équipe Pixel dont je faisais partie et avec qui j’ai eu l’occasion de travailler régulièrement, ainsi que les membres de Praxitexte qui m’avaient invité en tant que discutant lors d’un séminaire.

Merci aussi à Aude Meziani et à tous les personnels de la vie doctorale de l’Université qui nous enlèvent régulièrement de vilaines épines administratives du pied.

Bien que j’y ai été moins présent, je remercie tous les membres du département d’Études nordiques de l’Université de Bâle qui m’ont toujours accueilli en leur sein et grâce à qui j’ai pu participer à plusieurs journées doctorales et à diverses conférences me permettant de consolider les connaissances sur la matière nordique. Je remercie également le professeur Jürgen Mohn d’avoir accepté d’être co-référent auprès de l’Université de Bâle.

Ce travail est l’aboutissement de réflexions qui avaient commencé durant mes années de licence LIG et de Master Plurilinguisme et Interculturalité de l’Université de Strasbourg. Je remercie mes enseignants d’alors, qui, durant ces cinq années, m’ont encouragé dans les différents travaux qui formaient les prémices de ce qu’allait devenir cette thèse. Je remercie également tous mes collègues étudiants qui partageaient avec moi les bancs de la fac à cette époque, avec une pensée particulière pour Marie, Amandine et pour Huib, confrère et, entre deux cours, rival une manette à la main.

Grâce à une bourse d’un an de l’Institut Suédois, Svenska Institutet, j’ai eu la chance de passer ma première année de thèse à l’Université d’Uppsala en Suède, dans le département Informatik och Media. Je tiens à remercier Else Nygren de m’avoir soutenu lors de la mise en place de ce projet et tout au long de mon séjour (Tusen tack Else!), ainsi que tous les membres du département pour leur accueil.

Je remercie tout spécialement Patrick Prax dont j’ai partagé le bureau pendant un an. Patrick, thank you so much for sharing your office with me. It was a real pleasure to have a friend like you by my side during my stay in Sweden. Talking about games, discussing research topics, preparing courses together and trying to make it as entertaining as possible for our students made my visit worthwhile (I haven’t tried juggling yet). I’m glad that you’ve succeeded with your own research and I really hope to work with you again and to see you and your family more often.

Je remercie les collègues du département Information et communication de l’Université de Lorraine – Site de Metz de m’avoir accueilli comme attaché temporaire d’enseignement et de recherche durant deux années. Ces fonctions m’ont permis de mieux comprendre certains arcanes du monde universitaire.

Je suis fier d’avoir été membre de l’AJC CREM, dont j’ai eu l’honneur d’être Responsable informatique puis Président. Grâce à ses membres, dont la plupart sont aujourd’hui devenus des amis, l’AJC fut un espace hautement créateur d’opportunités et d’enrichissement personnel pour qui s’en donnait la peine. Je remercie tous ceux qui ont participé à ses activités et tout particulièrement ceux qui m’ont suivi et soutenu dans des projets parfois un peu fous. Mention spéciale à Émilie et Antho pour m’avoir accompagné et souvent supporté. Je remercie également Nathalie d’avoir accepté de reprendre le flambeau, je ne pouvais pas rêver de personne plus compétente et volontaire dans ces fonctions.

Merci aussi à notre « parrain », Stéphane Goria, correspondant de l’AJC auprès du laboratoire, qui suit de près les travaux de l’association et n’est jamais avare de bons conseils, sur le plan scientifique comme sur le plan institutionnel.

Ces années de thèse ont aussi été l’occasion de lancer et de diriger un certain nombre de projets. Merci aux co-organisateurs et à tous leurs participants de l’ouvrage collectif La position du doctorant. Trajectoires, engagements, réflexivité, du colloque « Dispositifs transmédiatiques, convergence, constructions des publics », dont les actes vont (enfin) bientôt paraître, et du colloque « Des jeux traditionnels aux jeux numériques ». Merci également aux collègues jeunes chercheurs toulousains que j’ai eu le plaisir d’accompagner dans le projet de publication sur l’interdisciplinarité en SIC.

À tous les collègues jeunes chercheurs devenus des amis, Veronika, le camarade Clément, Marion, Lukas, Julien, et tous les autres.

Je tiens à remercier Thomas Mohnike, qui a été présent bien avant le début de cette thèse et qui l’a suivie de ses débuts jusqu’à son aboutissement. Merci de m’avoir fait confiance en me faisant intervenir à diverses occasions lors de cours et de séminaires. J’espère être à la hauteur de la tâche que tu m’as confiée.

Je pense aussi au groupe de chercheurs réunis autour de lui dans le cadre du travail sur le projet ReNordic, Gabriela, Giacomo et Pierre-Brice. Même si les demandes de financement n’ont pas abouti, nos réunions étaient des moments clefs de réflexion et de partage sur la réception des mythes nordiques dans ses multiples facettes. Je leur dois nombre de développements de cette thèse.

Je remercie également Patrick Schmoll et les fidèles participants des séminaires « Société terminale » puis « Anthropologie des techniques », et tout spécialement Michel, Serge, Laurence et Gilles. Ces séminaires ont été l’occasion de réfléchir à de nombreux thèmes de recherches liés à nos intérêts communs et tout particulièrement le jeu. J’ai pu à plusieurs occasions y présenter des recherches qui posaient certains des fondements de cette thèse, puis les amender et les approfondir grâce à vos retours. Merci pour vos remarques, toujours bienveillantes et attentives, et pour nos sorties post-séminaires qui font que les relations humaines dépassent de loin les simples relations de travail.

Je remercie également tous les membres, passés et présents, du comité de rédaction de la revue ¿ Interrogations ?, dont je fais partie aujourd’hui. Le travail au sein de la revue m’a beaucoup appris sur les exigences attendues d’un travail de recherche et m’a grandement fait progresser.

Au sein de cette équipe, je tiens à remercier tout particulièrement ma “marraine”, Audrey Tuaillon Demésy, qui m’a proposé de rejoindre le comité. Je suis ravi de travailler avec toi aujourd’hui et de préparer le prochain numéro de la revue. Trouver des personnes avec qui le travail se passe aussi bien est rare. J’espère que nos collaborations se poursuivront encore longtemps à l’avenir !

Merci aux participants du projet de carnet hypothèse Mundus Fabula, qui a vu le jour cette année. En espérant qu’il puisse nourrir avec pertinence les réflexions autour des constructions de mondes.

Merci à Aurélie Choné de m’avoir engagé, lorsque j’étais étudiant de Master, comme assistant pour le programme MISHA Villes invisibles. Ces fonctions m’ont permis de mettre très tôt un pied dans le monde de la recherche.

Durant mes dernières années de thèse, j’ai eu l’occasion de suivre et de participer au séminaire ISPIM. Merci à ses membres et particulièrement à Catherine Allamel-Raffin et Jean-Luc Gangloff pour leur accueil.

Je remercie aussi tous les membres de l’association Doxtra où mes activités associatives doctorales se poursuivent aujourd’hui. Ce que vous faites pour les jeunes chercheurs en SHS n’a pas de prix.

Merci à Aurore et aux membres du comité d’organisation des Rencontres nationales de la FNCAS 2008, lors desquelles j’avais eu l’opportunité de présenter ma toute première conférence, et que je retrouve toujours avec joie autour de bons repas.

Je remercie tous les étudiants que j’ai eu le plaisir d’avoir en cours et qui m’ont appris à être un meilleur pédagogue. Par vos retours, vos questionnements, vos critiques, vos demandes de précisions, vous m’avez aidé à être plus clair dans mes explications.

Il me faut également remercier les membres du groupe Facebook « Jeux vidéo – Recherches », animé par Yann Leroux, pour la veille scientifique et les discussions qui s’y tiennent, qui m’ont permis de prendre connaissance de nombreuses références utiles dans le cadre de ce travail.

Je remercie toutes les personnes qui ont répondu positivement, lors d’une rencontre ou simplement suite à un échange par mail, lorsque je leur demandais de me fournir une référence, un article ou tout autre document qui pouvait faire avancer mes recherches et qui n’était pas accessible d’une autre manière. La liste serait bien trop longue à faire ici, mais il est important de dire que sans eux, ce travail n’aurait pas été le même. Vous reconnaîtrez sans doute votre contribution au détour d’une note de bas de page. Merci pour votre aide précieuse !

Bien entendu, je remercie les joueurs qui m’ont accueilli sur Age of Conan: Hyborian Adventures et avec qui j’ai parcouru l’Âge hyborien numérique et affronté ses dangers ! De l’éphémère Garde Imirienne, en passant par le Clan Arkenstone, dont je remercie les membres pour leur participation à mes petites expériences pas toujours réussies, pour finir chez Les disciples de l’Oracle et l’alliance Arallu avec qui nous sommes allés jusqu’à faire tomber la tête du vil sorcier stygien Thoth-Amon ! Je pense aussi aux autres joueurs, amis et ennemis, croisés en jeu. Je garde des souvenirs impérissables des longues soirées en votre compagnie. Merci pour tout ce que vous m’avez appris, j’espère n’avoir pas trahi ce qui fait l’attrait de notre loisir.

Cette thèse ne serait pas ce qu’elle est sans tous les joueurs que j’ai eu l’occasion de rencontrer. Depuis mon club de jeu de rôle sarrebourgeois La Main-occulte, à tous ceux croisés autour d’une table, merci d’entretenir la flamme.

À tous les copains, merci pour votre fidélité et merci d’avoir cru en moi ! Aux irréductibles, Ben chou² bien entendu, Tibo, Sahand, JR et Pode le Lointain, les membres de l’association Amaranthe, mais aussi tous les amis du QG, à Raphaël et Bertrand toujours présents, et à Jacques et aux fidèles anciens lycéens qui, chaque année, continuent à être là pour fêter Noël (par contre, il va falloir trouver une nouvelle blague maintenant !).

Je remercie tout spécialement Johanna, qui a partagé mon quotidien ces deux dernières années et qui connaît mieux que quiconque les tracas de vivre avec un doctorant en fin de thèse. Tu as tenu le coup même si je n’ai pas toujours été très disponible et souvent préoccupé. Pour ton soutien dans tous mes travaux, pour tes relectures attentives dans les dernières semaines de mise au point du manuscrit et pour ta présence rassurante dans les moments de doute, merci Chérie.

Je remercie toute ma famille pour leur compréhension et pour leur soutien. J’ai hâte de pouvoir vous montrer le résultat final. Peut-être qu’il donnera des idées à Maximilien dans quelques années…

Enfin, j’ai une pensée toute particulière pour celle sans qui je ne serai pas là, qui me soutient depuis plus de trente-quatre ans dans tous mes projets et qui n’a pas émis le moindre doute le jour où je lui ai dit que je recommençais mes études dans une toute nouvelle branche. Merci Maman !

Pour finir, je dédie ce travail à Simon-Pierre, à Philippe, à ma grand-mère Marie et à tous ceux qui, partis toujours trop tôt, continuent de nous accompagner tels des héros mythiques veillant sur nous et dont le souvenir quotidien tient à bonne distance la terreur de ne pas voir aboutir notre travail.

Du fond du cœur, merci à tous.

Laurent

[Parution] Actualité de la question interdisciplinaire en sciences de l’information et de la communication. Expériences de recherches situées

Centre de recherche sur les médiations
Communication, langue, art, culture

(EA 3476, université de Lorraine)

Association des doctorant.e.s toulousain.e.s
en sciences de l’information et de la communication

Sans titre

Actualité de la question interdisciplinaire
en sciences de l’information et de la communication.
Expériences de recherches situées
sous la direction de
Guillaume Carbou, Thibault Christophe, Nathalie Negrel et Laurent Di Filippo

Éditions universitaires de Lorraine, 2016, 232 p.

Commander 

http://www.lcdpu.fr/livre/?GCOI=27000100557850

L’interdisciplinarité nourrit un débat aussi vif que dense au sein des milieux académiques ; et ce, particulièrement depuis les années 60. Poussée par des raisons tant épistémologiques qu’économiques ou politiques, la nécessité d’interroger la stabilité des frontières disciplinaires devient souvent impérieuse. Les sciences de l’information et de la communication n’échappent pas à cette injonction. L’objectif de ce volume n’étant pas de redoubler des positions qui ont déjà été prises, la question est abordée d’un point de vue spécifique : celui des jeunes chercheur.e.s. Comment les disciplines nécessaires à la compréhension de leurs objets d’étude sont-elles convoquées? Comment leurs cadres théoriques sont-ils élaborés? Et comment les chercheur.e.s se positionnent au sein de leur discipline, historiquement composite? L’ouvrage fournit des pistes de réflexion en livrant une synthèse des acquis des travaux sur la notion d’interdisciplinarité et en proposant des retours d’expérience permettant de penser les modalités d’application d’une démarche interdisciplinaire en sciences de l’information et de la communication.

Guillaume Carbou, docteur en sciences de l’information et de la communication, est membre du Laboratoire d’études et de recherches appliquées en sciences sociales (université Toulouse-Jean Jaurès). Ses travaux, dans une perspective d’analyse du discours, portent sur l’expression de modes d’appréhension du monde divergents au sein des débats de société.
Thibault Christophe, docteur en sciences de l’information et de la communication, est membre du Laboratoire d’études et de recherches appliquées en sciences sociales (université Toulouse-Jean Jaurès). Son objet de recherche est la musicalisation du quotidien à l’heure du numérique.
Nathalie Negrel, docteure en sciences de l’information et de la communication, est membre du Laboratoire d’études et de recherches appliquées en sciences sociales (université Toulouse-Jean Jaurès). Ses travaux portent sur les chaînes internationales de télévision et la circulation des discours médiatiques sur les migrations subsahariennes.
Laurent Di Filippo, doctorant en sciences de l’information et de la communication à l’université de Lorraine et en études scandinaves à l’université de Bâle (Suisse), est membre du Centre de recherche sur les médiations (université de Lorraine). Ses travaux portent sur la reprise et la circulation d’éléments mythologiques traditionnels dans les productions culturelles contemporaines

[Parution] Penser les catégories de pensée. Arts, cultures et médiations

9782343096230r

Penser les catégories de pensée. Arts, cultures et médiations

Sous la direction de Chloé Delaporte, Léonor Graser et Julien Péquignot

Ouverture Philosophique
 
L’étude des arts, des cultures et de leurs médiations, vaste programme qui recouvre une pluralité de disciplines, construit des catégories pour penser ses objets. Typologies des publics, labellisations des œuvres, qualifications des auteurs, classifications des modes d’expression artistiques, caractérisations des dispositifs et indexations documentaires sont en effet autant de catégorisations opérées a priori ou a posteriori pour saisir tant les objets que les individus et leurs pratiques, usages et discours. Cet ouvrage rassemble une diversité d’approches réflexives autour de ces processus de catégorisation, dans la diversité de leurs emplois et théorisations.
 
 
Le site internet spécifique présentant l’ouvrage, le colloque et les auteurs a par conséquent été mis à jour, toujours à l’adresse suivante : https://penserlescategoriesdepensee.wordpress.com/
Contribution à l’ouvrage :
Di Filippo L. (2016). Des récits médiévaux scandinaves aux mythes nordiques : catégorisations et processus d’universalisation. In C. Delaporte, L. Graser, J. Péquignot (dirs). Penser les catégories de pensée. Arts, cultures et médiations (pp. 115-133). Paris : L’Harmattan.

[Publication] ANTHROPOLOGIE/Y & COMMUNICATION INTERSECTIONS

Sortie d’un ouvrage auquel j’ai eu le plaisir de participer

ANTHROPOLOGIE/Y & COMMUNICATION INTERSECTION

Coperta_Anthropologie_AConstantinescuAngelica Helena MARINESCU, Alexandra Gabriela CONSTANTINESCU (dir.), 2016

L’ouvrage s’adresse a des spécialistes dans le domaine de la communication et de l’anthropologie, mais aussi aux jeunes chercheurs et aux étudiants./ Anthropology and communication, or communication and anthropology? The editors tried to answer, given the content of the articles, but also the author’s specializations.

Plus d’information : http://editura-unibuc.ro/magazin/anthropologiey-communication-intersections/

Ma contribution

Di Filippo, L. (2016). Anthropologie culturelle, communication et phénoménologie du mythe. In A. Marinescu, A. Constantinescu (dirs), Anthropologie/y & Communication. Intersections (pp. 37-63). Bucarest : Editura Universității din București.

Résumé. – Au début du vingtième siècle, l’anthropologie culturelle américaine posait des bases importantes pour un courant connu aujourd’hui en France sous le nom d’« anthropologie de la communication ». La vision du monde qui sous-tend ce courant, et que l’on trouve notamment dans les travaux de Franz Boas et d’Edward Sapir, s’avère compatible et complémentaire avec la phénoménologie de la réception du mythe développée par le philosophe allemand Hans Blumenberg. En croisant ces deux approches, il est alors possible de proposer un cadre épistémologique permettant d’étudier les usages contemporains de mythes anciens.

Mots clés. – Mythes, réception, production, phénoménologie, communication, anthropologie

abstract. – At the beginning of the 20th century, American cultural anthropology laid the foundations for a field known today as Anthropology of communication. The vision of the world which supported this branch, and that one can find in the works of Franz Boas and Edward Sapir, is compatible with and complementary to the phenomenology of myth reception developed by the German philosopher Hans Blumenberg. Crossing these two approaches allows to build an epistemological frame in order to study the contemporary uses of ancient myths.

Keywords. – Myths, reception, production, phenomenology, communication, anthropology

 

 

 

[Publication] Sciences du jeu n°5 – Jeux traditionnels et jeux numériques : filiations, croisements, recompositions

Sans titre

Sciences du jeu n°5 – Jeux traditionnels et jeux numériques : filiations, croisements, recompositions

Numéro dirigé par Stéphane Goria, Delphine Buzy, Laurent Di Filippo, Pauline Thévenot

Présentation

Une sorte de paradoxe est en train de s’affirmer à travers la littérature scientifique dédiée aux domaines ludiques ou en rapport avec le jeu. Le nombre de travaux uniquement consacrés aux jeux numériques occulte petit à petit les travaux dédiés aux jeux traditionnels, alors qu’il existe toujours des liens puissants entre jeux traditionnels et jeux vidéo. Un éclairage réciproque devrait nous inciter à nous interroger sur les singularités ou complémentarités des deux domaines, c’est pourquoi nous proposons ici de nous intéresser à certains de ces liens et contrastes existants entre ces deux types de jeux. Cette introduction à ce numéro de Sciences du jeu vise ainsi à montrer une variété de problématiques qui entourent ces phénomènes et comment les articles contribuent à répondre à certains questionnements ouverts ici et proposent des perspectives contemporaines pour l’analyse des jeux de tous genres.

Sommaire

Récits médiévaux scandinaves : quelques outils disponibles en ligne

Récits médiévaux scandinaves :  quelques outils disponibles en ligne

 

Facsimile – scan

Edda en prose

Codex Wormianus

http://www.e-pages.dk/ku/621/

Edda poétique

Codex Regius (2365 4to)

http://www.germanicmythology.com/works/CODEXREGIUS.html

AM 748 I 4to

https://notendur.hi.is//~eybjorn/ugm/748/am748.html

Transcriptions

Edda en prose

Transcription, basée essentiellement sur le Codex Regius

The Uppsala Edda (DG 11 4to), ed. by Heimir Pálsson

Codex Wormianus – Edda Snorra Sturlusonar: Codex Wormianus AM 242, fol. Copenhagen and Kristiania (Oslo): Gyldendal.

http://www.abdn.ac.uk/skaldic/db.php?table=bibl_works&view=images&id=1275&if=default&page=1&go=go

Codex Trajectinus

http://www.septentrionalia.net/etexts/trajectinus.pdf

Laufas Edda

Source : http://handrit.is/en/manuscript/imaging/is/AM04-0758#0001v-FFl, consulté le 26/08/2015.

 

Sagas

Icelandic saga Database

Publications diverses

Dictionnaires

A Concise Dictionary of Old Icelandic

[Revue Interrogations] AAC N°23 Des jeux et des mondes

Appel à contributions N°23 Des jeux et des mondes

Numéro coordonné par Laurent Di Filippo et Audrey Tuaillon Demésy

La notion de “monde(s)” a connu de nombreux développements théoriques en sciences humaines et sociales. Le présent appel à contributions propose d’en renouveler l’approche à travers l’étude des jeux dans la diversité des dimensions qui permettent de les caractériser, c’est-à-dire en tant qu’activités ludiques, dans leurs matérialisations en tant qu’objets ou encore, à travers l’attitude qui les accompagne (Henriot, 1989). Dans une optique pluri- ou interdisciplinaire, il s’agira également de sortir de l’ambiguïté des usages du terme de “mondes”, afin de fournir des pistes à la fois théoriques et méthodologiques aux chercheurs désirant aborder ces sujets.

Plusieurs axes de questionnements peuvent être envisagés : d’abord, une réflexion portant sur les “mondes” des jeux, comme organisation sociale. En tant que systèmes, ceux-ci permettent de saisir les logiques d’actions des acteurs, qui délimitent des espaces spécifiques pour leurs pratiques. Le second axe de réflexion a trait aux mondes fictionnels et à leur création, qu’il s’agisse de recréation, de transformation ou encore d’immersion. L’enjeu est de saisir les processus de construction des mondes ludiques. Dans le même ordre d’idée, le troisième point invite à repenser les frontières entre les “mondes” (fictionnels, réels, imaginaires, etc.) et le passage de l’un à l’autre. Enfin, une dernière piste d’analyse, davantage épistémologique, fait référence à la “vision” que l’on a de ces mondes, aux représentations qu’ils induisent dans une optique tant sociale et politique qu’historique.

Lire l’appel complet et détaillé sur le site de la revue : http://www.revue-interrogations.org/AAC-No23-Des-jeux-et-des-mondes

Envoi des contributions
Les articles, rédigés aux normes de la revue, au format .doc ou .odt, ne doivent pas dépasser 50 000 signes (notes et espaces compris). Ils devront être adressés à Laurent Di Filippo ET Audrey Tuaillon Demésy, avant le 31 janvier 2016, aux adresses électroniques suivantes :
laurent@di-filippo.fr
audrey.tuaillon-demesy@univ-fcomte.fr

Les articles devront répondre aux normes de rédaction présentées à l’adresse suivante : http://www.revue-interrogations.org/Recommandations-aux-auteurs

Nous vous signalons également que l’appel à contributions pour le numéro 22, L’enquêteur face au secret, est toujours ouvert : http://www.revue-interrogations.org/AAC-no22-L-enqueteur-face-au

Bien cordialement,
Audrey Tuaillon Demésy et Laurent Di Filippo

Suivez également notre actualité sur la page Facebook de la revue :
https://www.facebook.com/revueinterrogations

Interview sur Robert-E-Howard.fr

Une nouvelle Interview, cette fois sur le site Robert-E-Howard.fr, un portail qui est une vraie mine d’informations pour les fans francophones de l’auteur texan.

Merci à Patrice Louinet pour cette opportunité !

Extrait :

« Comment est venue l’idée de faire un tel travail ?

Presque par hasard ! Lorsque j’ai repris des études en langues, suite à un cursus en informatique, j’ai décidé de me spécialiser dans les études scandinaves et là, j’ai commencé à apprendre plus de choses sur les sources qui avaient nourri une grande partie de l’imaginaire lié à différents loisirs que je pratiquais. Car on retrouve des éléments de mythologie nordique dans de nombreux médias.
Quand est venu le moment de choisir un sujet de recherche pour mon mémoire de master, je pensais d’abord travailler sur des problèmes linguistiques, mais mon directeur de l’époque était spécialiste de contacts de cultures. Sans trop y croire au départ, je lui ai donc proposé de travailler sur les traces de mythes nordiques dans les MMORPGs. À ma grande surprise, il a accepté et il était même plutôt enthousiaste, tout en me prévenant qu’il fallait être carré pour travailler sur les jeux vidéo à l’université. Au début, il est vrai que je me justifiais souvent. Mais entre mes débuts en master en 2008 et aujourd’hui, j’ai senti une certaine évolution et j’ai l’impression que ce type de sujet est mieux accueilli maintenant.
Durant mes années de master, j’ai travaillé sur Dark Age of Camelot principalement et un peu sur Age of Conan. Et comme le premier a fermé ses portes en France en 2010, j’ai choisi AOC comme terrain d’étude pour ma thèse, en espérant qu’il reste ouvert suffisamment longtemps. […] »

Lire l’interview complète : http://www.robert-e-howard.fr/Pages/Articles.php?ID_Article=2295

N’hésitez pas à visiter également le groupe FB lié au site pour vous tenir au courant des dernières actus :
https://www.facebook.com/groups/728598287198680/

 

Interview sur le blog Strasetpixels

Petite interview sur le blog Strasetpixels à propos du mois de conférence sur le jeu organisé à Strasbourg.

Extrait :

  • Tu es à l’initiative de la série de conférences sur le jeu qu’organise pour le mois de novembre le Jardin des sciences de l’Université de Strasbourg. Peux-tu nous présenter ce qu’est le Jardin des sciences, et ce qui vous a conduit à retenir ce thème ?

Le Jardin des sciences est le service de diffusion de la culture scientifique et technique de l’Université de Strasbourg. Son rôle est de participer à l’ouverture et la promotion de la recherche auprès du grand public, à travers un grand nombre de manifestations diverses, telles que des cycles de conférences mensuelles sur des thèmes variés, permettant un débat sciences-citoyens sans cesse renouvelé. C’est dans ce cadre que s’ancre la série de conférences sur le jeu que nous avons intitulé « Ce que jouer nous apprend ». […]

Lire l’interview complète : http://strasetpixels.canalblog.com/archives/2014/10/28/30848466.html